Pendant la seizième siècle, l’empire ottoman était la même en manier de militaire, technologie, économie et l’effectivité de administration si on compare avec les pouvoirs européens. Pourtant, dans le dernière part de dix-huitième siècle elle avait reste en arrière des états majeurs. Par la suite, cette régulation se formait un problème local et globale même si pour les leaders de l’empire ottoman et les pouvoirs européens. L’image de Turc d’après l’Europe devenait importante quand on fait l’analyse de l’attaque diplomatique de l’Empire, « équilibre des puissance »
L’équilibre des puissances est un concept principal de l’école réaliste en relations internationales. Dans un environnement sensible, les états forment un équilibre entre elles et il est cru que si cet équilibre tombe en panne il va causer guerre total dans la region. L’empire ottoman avait appliqué cette concept en prospère depuis des guerres Napoléon jusqu’à la guerre mondiale. Changement des allies, faire des accords secrets et faire les combats mineurs étaient très importantes pour éviter des guerres total qui aurais pu finir la vie des Ottomans.
L’empire ottoman devait rétabli une évolution diplomatique plus que la force militaire de sorte à survivre entre les états majeurs, en raison de la condition problématique des logistiques, transportes et le malaise financier.
La diplomatie attentive était cruciale pour la survie de la Porte Sublime, en revanche, l’équilibre des puissances était dépendu aussi à la survie de l’Empire Ottoman.
Entre 1793-1796, les missions extérieures permanentes étaient établies à Londres, Berlin, Paris et à la Vienne pour représenter le Sultan dans les états ils étaient nommés. Le service secondaire pour d’elles était observer la vie actuelle, la situation politique, les mouvements culturels dans les états européens car l’empire ottoman était au milieu de la réforme et elle pourra apprendre quelques points dès les parts d’elles.
Il n’existait pas un Ministre des Affaires Etrangère dans l’empire jusqu’à 1835. Apres la fondation du ministre, il avait s’occupé avec les relations entre les millets* dans l’empire attendant que les années 1880s. Bien que l’établissement du ministre, Sultan était l’autorité première pour les décisions de politique étrangère, comme dans le cas de Abdülhamid II. Néanmoins, l’empire était paru à construire une structure effective de la politique étrangère.
Début de la dix-neuvième siècle, l’empire ne pouvait pas gagner une lutte et avait décidé d’appliquer une diplomatie à exploiter l’équilibre des puissances en Europe. Cette diplomatie était particulièrement crucial dans les trois zones des conflits ; les Balkans, le Méditerranée et le Moyen-Orient. Dans les Balkans, les intérêts de l’empire russe et l’empire austro-hongrois étaient coïncidé. Dans le Méditerranée; les russes, la France et l’empire britannique luttent entre eux pour gagner contrôle des routes aux colonies. Néanmoins, au Moyen-Orient, l’empire britannique et la France combattaient pour la domination de la région. La Sublime-Porte avait pensé à barrer les états dans les trois zones conflits. Elle avait évité a formé des pactes longues à préserver l’équilibre et aussi a éviter des guerres destructives.
Jusqu’à la première guerre mondiale, l’Empire n’avait pas formé des pactes concrets avec les états majeurs, elle avait seulement cherché des supports en cas de Mohammed Ali et la contestation avec la Russie. Malheureusement, pendant la première guerre mondiale la formation alliance avec l’Allemagne et l’empire austro-hongrois avait causé de la fin de l’empire qui avait vu six-cents années.
*millets : les groups religieux dans l’empire ottoman.
Basri Alp AKINCI
