TURQUIE: AU BORD DU CHAOS DU MOYEN-ORIENT

upa-admin 31 Ekim 2015 2.700 Okunma 0
TURQUIE: AU BORD DU CHAOS DU MOYEN-ORIENT

Une poule affamée rêve qu’elle est dans le grenier à orge.” – Une citation française

La Turquie est un état important dans la région Moyen-Orient. Même si la Turquie est un état du Moyen-Orient, elle est aussi Caucasien, Balkanique est Européen qui donne la Turquie une manier multiculturelle et sensible. Situé entre les trois régions problématiques compose la politique extérieure de turc, pendant que affecte la politique intérieure. Cette situation est causé des dirigents Turc poursuivent une politique sécuritaire. Bien que Ankara est engagé au terrorisme intérieur et extérieur une élection approche doucement.

La Turquie moderne, qui est établi après les guerres destructives, à formé sa relation diplomatique avec ses voisins délicatement. Apparts des voisins, Ankara s’est orienté ses visages à l’Est (Etats-Unis, Europe) et elle était très motivé à former des relation intime avec l’Angleterre, la France et l’Italie qui étaient aussi ses adversaires dans la guerre de l’indépendance. La Turquie n’était pas motivé par l’impérialisme de l’Est, mais la conception de modernité et démocratie ont surexcité le leader de la Turquie moderne, Atatürk. Entre deux guerre mondiale, Turquie a pansé ses blessures, a constitué une économie semi-indépendante, a composé un peuple qui avaient plein d’espoir. Après la seconde guerre mondiale la menace de Soviet a poussé la Turquie au camp capitaliste, à l’Est. Pendant la guerre froide Ankara spécifiquement a défendu les intérêts de l’Est, sauf que peu des exemples, seulement la fin de la guerre froide n’était pas pour le profit d’elle. Ankara s’était habitué à la guerre froide et elle a créé son importance dans le camp capitaliste et dans la relation internationale de sa position géopolitique et géostratégique.

Avec la fin de la guerre froide et les crises démocratiques de Turquie, les experts a commencé à poser la question très populaire “Qui a perdu la Turquie ?”. Cette question vitale est distinctive pour les deux perspectives. La guerre qui a déterminé la diplomatie brusquement a fini et l’histoire aussi a terminé comme Fukuyama a écrit dans son article sensationnel. Turquie, qui était un avant-poste de l’Est et un état midi grand, devait altérer sa politique extérieur invalide avec une politique fraiche. Dans ce cadre-là Turquie a accéléré son but de l’accession à l’union européen, qui était une décision sage. Cependant, la crise économique en Turquie a fait changer la tête du gouvernement. Nouveaux islamistes vont réviser la politique extérieure de la Turquie et le terrorisme international qui a apparu véhémentement va canaliser Ankara dans un endroit différent que l’ancienne remarqué, que les spécialement Les Etats-Unis doivent être considérés comme une puissance qui ne doit pas être perdu.

L’AKP, le parti neo-conservatist et neo-Islamiste, a la charge de la Turquie depuis 2002. Encore que l’AKP a dessiné une image réformiste et démocratique et après de l’année 2011, qui est le sommet de leur puissance en Turquie, avec le soutien de Le printemps arabe, elle a essayé a reconfigurer la région en plus elle a pris aussi le risque de dévoiler les limites de la puissance turc. Ensemble de résistance Gezi, le gouvernement AKP a commencé limiter le droite de l’homme et a engagé les politiques fascisantes a l’intérieur de la Turquie. En même temps, l’AKP a forcé à changer les régimes du tout de Moyen-Orient. Récemment, elle véhémentement supporte les frères musulmans en Egypte, Syrie, Libye et elle supporte aussi étonnamment les djihadistes dans la région. L’AKP a commencé opérer un virage après l’attentat suicide meurtrier par l’Etat Islamique (Daech) qui a fait 32 morts dans la ville de Suruç. La Turquie a également ordonné une série des raids aériens contre des cibles rebelle kurdes dans le nord de l’Irak. Outre des daech et les kurdes et le régime Syrien, Ankara aussi ne pas avoir une relation parfaite avec le russe et américain qui sont essentiels dans le théâtre syrien. La Russie en réaffirmant une coopération ancienne avec le régime de Bachar Al-Assad, elle aussi espère balancer d’avantage dans la reconfiguration du Moyen Orient. Etats-Unis aussi veut défendre son intérêt et reconstruit la région. Mais pour l’instant elles veulent d’éliminer daesh et les djihadistes en Syrie et l’Irak et une coopération potentielle est très proche. En même temps, le premier choix pour la Turquie est se débarrasser du régime syrien et les kurdes dans le nord de la Syrie.

Les conflits intérieur et extérieur notamment avec les kurdes limitent la capacité turc en diplomatie et aussi que dans sa politique interne. Le parti politique des kurdes, HDP, devient une croissance plus forte de jour par jour et le conflit entre les turcs et les kurdes approfondi quotidiennement. La menace interne affecte la manœuvre diplomatique de la Turquie à exécuter une politique extérieure confortable. La politique externe surréel d’Ankara risque aussi l’harmonie et la paix dans toute la Turquie. Ankara doit retourner au politique externe laïque et commencer à être un soutien pour la démocratie et la paix dans la région.

Le Moyen-Orient qui est toujours une ressource pour un chaos et les conflits se trouve malheureusement juste à côté de la Turquie. Jusqu’au début du 21ème siècle Ankara trouver un moyen de rester éloigné des conflits régionaux. Cependant, la diplomatie irresponsable et irrationnelle de gouvernement de l’AKP constitue un grand risque pour la Turquie de devenir un d’états du Moyen Orient. Avec les anciens ennemis et les nouveaux Turquie est maintenant entièrement dépendante de la crise syrienne. Un grand risque de guerre civile est également sur la table. La Turquie doit être réveillée et doit revenir à sa diplomatie laïque et redevenir un pionnier de la paix et de la démocratie dans la région.

Basri Alp AKINCI

BIBLIOGRAPHIE

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